vaincre l'aqua-phobie
vaincre l’aqua-phobie

L’aquaphobie est un terme qui désigne, à la base, la peur de l’eau. Mais ce nom a été repris par les maîtres nageurs pour nommer les leçons dispensées dans les piscines qui permettent de vaincre la peur de l’eau.
La « peur de l’eau » :

Les raisons d’avoir peur de l’eau sont nombreuses, et appartiennent à l’histoire et à l’expérience de chacun.

Il existe différents degrés d’aquaphobie : de la peur de l’eau dans toutes ses formes (pluies, éclaboussures, cascades…) au sentiment bien plus fréquent d’insécurité de se retrouver dans un milieu aquatique où l’on n’a pas pied.

La peur de l’eau est un phénomène courant : un Français sur cinq ne se sent pas à l’aise dans l’eau.

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Homéopathie
Homéopathie

La médecine douce a aujourd’hui investi nos pharmacies personnelles, mais est–elle efficace, employée à bon escient et surtout, sans danger ?

Le point sur ces trois approches de soins.
Après l’allopathie à tout prix, le retour aux méthodes « douces » a fait émerger le pouvoir ancestral des plantes, du milieu naturel… et de leurs odeurs.
Après l’allopathie à tout prix, le retour aux méthodes « douces » a fait émerger le pouvoir ancestral des plantes, du milieu naturel… et de leurs odeurs.

En 2009, le très sérieux et reconnu American Journal of Medecine affirmait sans ambages que l’homéopathie n’était ni plus ni moins qu’un affront à la science moderne, au même titre que l’astrologie, le mouvement perpétuel, l’alchimie ou… les apparitions d’Elvis !

Scandaleuse tromperie pour ses détracteurs, approche extrêmement efficace pour ses défenseurs, l’homéopathie déchaine les passions depuis plus de 200 ans.

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méditation pleine conscience
méditation pleine conscience

 

Une étude britannique dévoile que la méditation est aussi efficace que les psychotropes contre les rechutes de dépression.

Publiée, il y a peu, dans la revue médicale The Lancet, une étude montre que « la méditation de pleine conscience » concurrence en efficacité les antidépresseurs dans la prévention de rechute de dépression. Alors, dit comme ça, cela ne vous évoque peut-être pas grand-chose. Il s’agit d’une technique de méditation qui consiste à concentrer son esprit, ses pensées et ses sensations sur l’instant présent. On l’appelle aussi la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (Mindfulness Based Cognitive Therapy, en anglais). Ce nouveau mode thérapeutique vient concurrencer la méthode de prévention classique qui repose sur la prise d’antidépresseurs sur le moyen à long terme.

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thérapies holistiques
thérapies holistiques

Les thérapies holistiques sont des thérapies qui s’adressent à l’être en le considérant comme un tout « le corps-esprit » depuis la moindre cellule jusqu’aux appareils ou systèmes les plus complexes qu’il englobe tels les appareils cardiovasculaire, digestif et respiratoire, le système nerveux.

La médecine allopathique tout en étant dédiée au traitement de maladies spécifiques ou à la remise en ordre d’organes dysfonctionnels grâce à des traitements médicamenteux offre le risque d’effets secondaires sérieux dus à ces mêmes médicaments.

À l’opposé les thérapies holistiques s’adressent au « corps-esprit » dans son entier à travers des techniques provenant pour la plupart des médecines orientales anciennes.

 

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medecine holistiqueDans le domaine de la médecine, nous avons, à une époque, été très proche des médecines chinoises et indiennes. Nous avons été baignés dans une médecine qu’on appellerait aujourd’hui, médecine « holistique », la médecine grecque. Elle-même inspirée des Egyptiens et des Sumériens. De la grande et belle médecine. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?

Quand j’étudiais Molière, au collège, il y avait toujours des personnages dans ses pièces qui étaient malades et auxquels on prescrivait des plantes pour soigner la bile ou le sang, et pour rééquilibrer les Humeurs. À cette époque, la médecine abordait le corps humain et ses maladies avec un œil assez différent de la médecine contemporaine, puisqu’elle était basée sur les déséquilibres des Humeurs.

Les Humeurs ? C’était quoi ?
Les Humeurs sont au nombre de quatre pour chaque personne. Elles correspondent aux quatre éléments nécessaires à la vie et produits par l’organisme ; le Sang, la Phlegme, la Bile jaune et la Bile noire. À l’époque de Molière, la médecine considérait comme acquis le fait que le tempérament de chaque personne (sanguin, bileux ou flegmatique), et par conséquent son état de santé, dépendait de la prépondérance de l’un ou l’autre de ces éléments ou de leur équilibre. Ainsi, tout changement dans ces éléments pouvait entraîner un changement dans l’état de santé. On regarde aujourd’hui chez nous cette vision de la santé comme une vieille chose un peu rigolote, mais cette approche ne vous rappelle-t-elle pas celle des médecines orientales ?

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médecine holistique
médecine holistique

L’invité Le théologien Emanuele Alfani écrit des propos réconfortants pour tous les malades.

Aujourd’hui, les avancés de la science et de la technique ont tendance à considérer le patient comme un numéro, sans états d’âme, oubliant de prendre en compte la dimension holistique et spirituelle de la médecine. En effet, s’il est évident que la société occidentale postmoderne a produit une approche du corps humain à son image, c’est-à-dire rationaliste et matérialiste, il faut aussi souligner que la déshumanisation engendrée par cette vision du monde, incite aujourd’hui maints thérapeutes à retourner aux origines d’une médecine hippocratique plus globale.

L’être humain n’est pas un robot à réparer mais une personne bio-psycho-sociale-énergétique et spirituelle, qu’il convient de soigner de manière multidimensionnelle et en tenant compte de ses aspirations supérieures.

Les progrès fantastiques de la science ne doivent pas faire oublier que la vie sur cette terre reste impermanente et que le concept de guérison devrait par conséquent transcender le plan physique.

Le scientisme et le biologisme actuels, la tendance à traiter plutôt la maladie que la personne malade, contribuent à la création d’une médecine allopathique, qui sait prolonger la vie, mais qui s’éloigne aussi d’un modèle de santé à visage humain.

Heureusement, parallèlement à cette évolution de la médecine, de manière complémentaire, se fait jour aujourd’hui, un désir généralisé pour des soins qui tiennent compte des véritables besoins fondamentaux des patients, en termes d’écoute, d’empathie, de compassion et de sens.

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médecine holistique
médecine holistique

OÙ L’UNION DES MÉDECINES FAIT TOUTE LA DIFFÉRENCE

La médecine moderne, celle qui pose des diagnostics, prescrit des médicaments et opère dans le corps est certes une grande et respectable avancée scientifique. Toutefois, sans dénigrer les bons côtés et bienfaits d’une telle pratique, il y a la médecine traditionnelle, efficace pour guérir certains maux du corps, soutenir et compléter le processus de guérison et faire de la prévention.
Les générations anciennes et autochtones de ce monde ont de tous les temps pratiqué leur propre médecine, utilisant ce que la Nature offre pour se guérir. Recettes et concoctions ont permis d’aller au plus pressant et résoudre maux et malaises. Parce que l’industrie pharmaceutique a de nos jours la plus grosse part du marché, on tend à oublier que la médecine dite «traditionnelle», «naturelle» ou de nos grand-mères, est pourtant efficace pour certains maux, et préventive lorsqu’on veut éviter la maladie ou renforcer les faiblesses de notre système. Et puis il y a la médecine holistique qui amalgame médecine moderne et traditionnelle, offrant une vision globale de la maladie et de sa guérison.

Qu’est-ce que la médecine holistique?

«La médecine holistique est une médecine intégrative, c’est-à-dire qui intègre d’autres disciplines à la façon de traiter les maux, explique Docteure Sylvie Morin, médecin holistique de la clinique Santé Nouveau Monde à Piedmont. L’origine d’un mal pouvant provenir de sources variées comme l’alimentation, la sédentarité, le stress, la fatigue mentale par exemple, des médecines autres peuvent être utiles à la guérison, travailler en complément de la médication ou du traitement nécessaire, ou permettre de faire de la prévention pour ne pas que le mal s’amplifie ou revienne.»

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thérapie intégrale
thérapie intégrale

La pensée intégrale repose sur une série d’antinomies : trouver des outils nouveaux pour solutionner des problèmes encore en gestation ; percevoir les variables cachées (au sens mathématique du terme) et les fluctuations imperceptibles de notre environnement.
La conscience intégrale décrit l’être humain dans un cadre universel. Elle fournit un langage, un mode de pensée et des moyens d’action adaptés aux problèmes aussi bien locaux que globaux. Et cela, dans les domaines artistique, thérapeutique, sportif, institutionnel, culturel, éducatif, environnemental… Elle repose sur un concept de base, le déploiement intégral, qui peut s’appliquer à une personne comme à un groupe, à une entreprise comme à une nation, à une technique de développement comme à un modèle socioculturel… Nous sommes engagés, que nous le voulions ou non, dans une aventure qui touche à toutes les dimensions de nos vies et de nos êtres : le soi et les autres ; la société, la planète et l’univers ; le passé, le futur et l’éternel présent… Penser « intégralement » peut nous permettre de vivre pleinement et de prospérer dans la société d’aujourd’hui, à travers un ensemble d’idées et d’outils novateurs capables de nous conduire vers des comportements, des attitudes et des actes plus juste, mieux adaptés à ce monde en perpétuel changement.
La pensée intégrale est aussi une porte ouverte sur l’exploration et l’intégration de nouveaux paliers de la conscience humaine. Le développement de soi nécessite périodiquement des « tempêtes de destruction créatives », des vents de changement qui éliminent les vieilles manières de penser et d’agir, pour faire place à d’autres, nouvelles mais parfois perturbantes, dont il faut synchroniser le rythme avec celui de l’évolution générale.

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dynamique spirale
dynamique spirale

Sociétés et individus passent par les mêmes stades de maturation. C’est la théorie de la Spirale dynamique, une façon de figurer l’évolution de la conscience, personnelle ou collective.
Tous les individus passent par les mêmes étapes, mais pas à la même vitesse.

Comprendre ce décalage permet de trouver une certaine harmonie, en soi mais aussi avec le monde.

Ouverte aux autres et adaptable, la nouvelle génération semble partie pour être jaune.
Inventée dans les années 1960 par le psychosociologue américain Clare W. Graves, elle a été popularisée trente ans plus tard par son élève Don Beck, autant en psychothérapie que dans le management ou la diplomatie. Elle découpe l’évolution de la conscience en stades successifs, symbolisés par des couleurs et représentant les étapes par lesquelles tout le monde passe nécessairement. Le nourrisson est entièrement mû par ses pulsions vitales – comme les hordes primitives. Le petit enfant découvre la magie du monde – comme les tribus chamaniques. Il affirme ensuite son ego avec agressivité – comme les royaumes guerriers. Puis viennent l’âge de raison et le besoin d’ordre – qui correspondent à l’âge des Etats et des grandes religions. Etc.

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